Avec la réception de ce rapport, nous entrons maintenant dans la période d'attente de dix-sept (17) jours civils avant d'être en position légale de grève le 3 novembre 2022.
SCFP CSCSO a reçu le apport d’avis de non-constitution (No Board Report) 17 octobre 2022
Ce matin, le SCFP CSCSO a reçu le apport d’avis de non-constitution (No Board Report) du ministère du Travail.
Avec la réception de ce rapport, nous entrons maintenant dans la période d’attente de dix-sept (17) jours civils avant d’être en position légale de grève le 3 novembre 2022.
La Loi sur la négociation collective des conseils scolaires (LNCCA) exige que nous donnions un préavis de cinq (5) jours avant d’entamer toute mesure de grève.
Avis de non-constitution d’une commission
À partir de 17 heures ce soir, votre équipe de négociation du CSCSO a demandé un “avis de non-constitution d’une commisiion”(No Board Report).
Un avis de non-constitution d’une commission (No Board Report) est la prochaine étape du processus légal de négociation et une exigence avant d’atteindre une position légale de grève. Nous vous informerons suffisamment à l’avance du moment où les mesures de grève pourraient commencer, conformément à la législation.
Le gouvernement a forcé une impasse 7 octobre 2022
Ce matin, au lieu d’une réponse écrite à nos propositions raisonnables, le gouvernement et les conseils scolaires nous ont demandé d’apporter des " changements importants et substantiels " à nos propositions de négociation.
En tant que travailleurs, vous avez clairement exprimé vos attentes à l’égard du comité de négociation - vous avez besoin de gains réels.
En l’absence d’une proposition sérieuse de la part de l’employeur, nous aurons atteint une impasse dans les négociations.
Se traînent encore les pieds 6 octobre 2022
Aujourd’hui était le premier jour de notre bloc de deux jours de négociations.
Nous avons commencé la journée en rappelant au gouvernement et aux conseils scolaires l’appui massif que vous, les travailleurs, avez donné à l’équipe de négociation ainsi que le rejet clair que vous avez également donné de leurs propositions. Une fois de plus, le gouvernement et les conseils scolaires ont fait trainer les négociations.
Les 55 000 travailleurs et travailleuses de l'éducation de première ligne de l'Ontario ont exercé leurs droits démocratiques en tant que syndiqué(e)s en participant au vote de grève qui a commencé le vendredi 23 septembre et qui se terminera le dimanche 2 octobre.
« Mes collègues et moi avons mis de l’avant d’excellentes revendications, des revendications qui sont raisonnables, nécessaires et abordables » a déclaré Laura Walton. « Elles sont tirées de ce que les travailleurs et travailleuses de l’éducation de première ligne et les familles de toute la province nous ont dit avoir besoin pour optimiser la qualité de l’éducation des enfants et pour que les emplois dans le secteur de l’éducation soient tels qu’ils permettraient aux conseils scolaires de recruter et de retenir du personnel. Doug Ford et Stephen Lecce ont le pouvoir et les ressources pour accepter nos revendications. Ils pourraient et ils devraient le faire dès maintenant. »
Avez-vous perdu votre bulletin de vote électronique pour le vote de grève central ? Veuillez suivre les étapes suivantes pour vous assurer que votre voix est entendue.
1. Vérifiez vos dossiers “autres”/“spam”/“junk” - la majorité des bulletins s’y trouvent.
2. Contactez votre section locale pour savoir quel courriel a été soumis pour votre accréditation - souvent, les gens pensaient qu’une adresse de courriel particulière était utilisée, mais il s’agissait d’une autre adresse.
Il est devenu très clair que ce gouvernement et nos conseils scolaires doivent voir et sentir le pouvoir qui se construit avec les travailleurs pour les inciter à répondre à vos propositions qui, si elles sont acceptées, elles garantiront les services aux étudiants et amélioreront les salaires et les conditions de travail de chacun d’entre vous.
Après 8 jours de négociations, nous avons vu très peu de mouvement autre que l'offre irrespectueuse présentée par Lecce et les conseils scolaires. Nous demandons l'appui d'un agent de conciliation du ministère du Travail pour soutenir les négociations en cours.
Il est encore temps pour Stephen Lecce et Doug Ford de demander à leurs représentant(e)s à la table d’accepter nos revendications raisonnables, nécessaires et abordables pour la réussite des élèves et de bons emplois ou de faire à tout le moins une offre respectueuse. Puisque le ministre de l’Éducation perd son temps à semer la peur et à se tromper dans ses calculs, nous avons déposé une demande de conciliation dans l’espoir qu’une tierce partie puisse aider à recentrer le gouvernement et les patron(ne)s des conseils scolaires sur la conclusion d’une convention collective équitable.
Votre comité central de négociation a passé une longue journée mardi et toute la journée de mercredi à essayer d’amener le CAE et le gouvernement de l’Ontario à s’entendre sur quelque chose. Même le congé de deuil était apparemment trop demandé.